La prose du Transsibérien et de la Petite Jehanne de France
Paris, PUF, 2011. 88 pages, 17,9 x 25,9 cm, relié.Le « Premier Livre simultané », dont voici le fac-similé, est l’histoire d’un adolescent qui se hisse à bord d’un poème illuminé par les sept couleurs de l’arc-en-ciel, en partance pour le multiple voyage de sa mémoire vers l’âge d’homme. On monte avec lui dans son transsibérien pour suivre son devenir à travers les tourments terrestres et les interrogations de l’âme. Blaise Cendrars adresse cette invitation à chaque lecteur: À toi, « ...ce livre qui tient à tout mon être ».
L’introduction de Miriam Cendrars évoque la réception mouvementée de l’œuvre originale, témoin d’un turbulent renouveau des arts. Après la vision « simultanée » des paroles de Cendrars dans leur particulière typographie, alliées aux couleurs qu’elles inspirent à Sonia Delaunay (1913), on lira la version de 1919, également reproduite ici, qui, « dédiée aux musiciens », appelle à tendre l’oreille aux sonorités, aux cadences et aux vibrations de la voix intérieure du poète.
Fille de Blaise Cendrars, elle-même écrivain et journaliste, Miriam Cendrars s'emploie à garder vivant le souvenir de l'oeuvre et de la personnalité de son père, mort en 1961. Elle a publié entre autres Blaise Cendrars. La vie, le verbe, l'écriture (Denoël).
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Paris, PUF, 2011. 88 pages, 17,9 x 25,9 cm, relié.Le « Premier Livre simultané », dont voici le fac-similé, est l’histoire d’un adolescent qui se hisse à bord d’un poème illuminé par les sept couleurs de l’arc-en-ciel, en partance pour le multiple voyage de sa mémoire vers l’âge d’homme. On monte avec lui dans son transsibérien pour suivre son devenir à travers les tourments terrestres et les interrogations de l’âme. Blaise Cendrars adresse cette invitation à chaque lecteur: À toi, « ...ce livre qui tient à tout mon être ».
L’introduction de Miriam Cendrars évoque la réception mouvementée de l’œuvre originale, témoin d’un turbulent renouveau des arts. Après la vision « simultanée » des paroles de Cendrars dans leur particulière typographie, alliées aux couleurs qu’elles inspirent à Sonia Delaunay (1913), on lira la version de 1919, également reproduite ici, qui, « dédiée aux musiciens », appelle à tendre l’oreille aux sonorités, aux cadences et aux vibrations de la voix intérieure du poète.
Fille de Blaise Cendrars, elle-même écrivain et journaliste, Miriam Cendrars s'emploie à garder vivant le souvenir de l'oeuvre et de la personnalité de son père, mort en 1961. Elle a publié entre autres Blaise Cendrars. La vie, le verbe, l'écriture (Denoël).
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